Générations de pilules : quelles différences ?
Les pilules combinées contiennent un œstrogène combiné à un progestatif. De nos jours, diverses générations de pilules sont disponibles sur le marché. Découvrez ci-dessous comment elles fonctionnent et quelles sont les différences.
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Pilules de première génération
Comme ces pilules contiennent beaucoup d’œstrogènes, elles ne constituent pas, à l’heure actuelle, le premier choix du médecin.
Quelques exemples : Microgynon 50, Neo-Stediril, Neogynon 21, Stediril-D, Ovostat, Binordiol, Fysioquens et Ovanon. -
Pilules de deuxième génération
Ces pilules ont été mises sur le marché dans les années '80 et '90. Elles contiennent moins d’œstrogènes que les pilules de première génération. Les progestatifs utilisés dans ces pilules sont le norgestimate, le noréthistérone ou le lévonorgestrel. Quelques exemples : Eleonor, Microgynon 20 et 30, Stediril 30, Mini Pregnon, Ministat, Modicon, Neocon, Noranelle, Lovette, Trigynon, Trinordiol et Trinonvum.
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Pilules de troisième génération
Ces pilules ont été mises sur le marché dans les années '90. Elles contiennent, comme les pilules de deuxième génération, de faibles doses d’œstrogène, mais d’autres sortes de progestatifs (désogestrel ou gestodène).
Quelques exemples : Deso, Femodene, Gestodelle, Gestofeme, Gracial, Harmonet, Liosanne, Marvelon, Meliane, Mercilon, Minulet, Mirelle, Tri-Minulet et Triodene. -
Pilules de quatrième génération
Ces pilules ont été mises sur le marché au début du 21e siècle. Elles contiennent aussi une faible dose d’œstrogène et un nouveau progestatif (drospirénone, diénogest, nomégestrol ou chlormadinone).
Quelques exemples : Yasmin, Yasminelle, Yaz, Qlaira, Zoely, Louise. -
Catégorie de pilules à part
Certaines pilules contenant le progestatif cyprotéron peuvent être indiquées si vous souffrez de troubles (ex. : acné) non contrôlés par thérapie.
Exemples : Diane, Daphne, Claudia et Ella.
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